Scénarios Express
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Moins développé qu'un scénario, moins anecdotique qu'un Interlude, un scénario express est un synopsis d'intrigue facile à développer que vous pouvez aussi bien utiliser comme intrigue secondaire pour booster le rythme d'une partie ou comme intrigue principale sur laquelle il sera facile d'improviser si vous n'avez rien sous la main...
Albert Petipas, dit "BigDaddy'
« Monsieur Petipas est un petit homme bien mis, toujours élégamment vêtu de gris, aux cheveux poivre et sel.
Charmant avec les dames, bien noté de sa hiérarchie, Albert Petipas affronte avec un calme surprenant l’adversité sans nom qui est le quotidien de la police.
Peut être est-ce un collègue de vos Pjs ? Ou un des rares flic sympathique qu'ils connaissent ?
Cependant, Monsieur Petipas a un secret.
Comme cela arrive dans les meilleurs romans, Albert avait un frère jumeau qu’il fagocita dans le ventre de sa maman.
Lorsque son médecin lui annonça la nouvelle, Madame Petipas le vécu assez mal. Elle entreprit de redresser la situation en torturant Albert durant toute son enfance afin de ‘Tuer le mal en lui’. Vexation, humiliation, longues nuits passée dans la cave, obligation de manger ses excréments…Albert sortait de ces épreuves sans cesse meilleur, c’est à dire plus calme, repentant et psychotique.
Partagé entre son désir de bien faire et sa haine incontrôlée de l’humanité, M Petipas rencontra sa vocation à la fin de sa scolarité, quand la fille la plus populaire du lycée l’invita au bal de fin d’année.
Hélas, elle commit l’erreur de faire une remarque désobligeante sur sa Maman chérie. Ne voulant pas gâcher une soirée aussi parfaite, Albert l’étrangla, la viola, puis fit disparaître son corps en le dévorant.
Albert participa avec zèle aux recherches, et sa peine lui assura la considération de tous ses camarades, ainsi que de la presse locale.
Albert Petipas venait de comprendre sa vocation : être un héros, vivre dans l’admiration générale, accéder au bonheur par la notoriété.
Il entra dans la police. Et y fit carrière.
Le jour, il combat le crime avec une obstination qui force l’admiration.
La nuit, il torture des femmes (pardon, des ‘putes’) dans la cave contiguë à son garage. Ensuite, il va prendre une bonne bière.
Et le week-end, il va s’occuper de sa vieille Maman infirme. Monsieur Petipas a une vie bien remplie.
Hélas, M. Petipas a un vice : il est un peu dépensier.
Certes, le corset tranchant destiné à son gorille violeur du gabon, ou son incinérateur dernier cri sont indispensables à son bien être, mais essayer de vous payer tout cela avec un misérable salaire de policier !
Alors, M. Petipas a été forcé de prendre ses dispositions pour améliorer son niveau de vie. Il emprunta un peu d’argent à un petit maffieux( M Giovani), et lui fournit régulièrement la dope sur laquelle il réussissait à mettre la main.
Mais ces gens-là ne sont pas fiables… Pris la main dans le sac, le dit Maffieux proposa un marché : le nom d’un ripou contre une réduction de peine.
Planqué par la police des polices dans un hôtel minable, Giovani se croit à l’abri.
Mais M Petipas est très aimé, alors que cette ordure de maffieux ne cherche qu’à sauver sa peau.
Sans trop de difficulté, M Petipas apprend l’adresse…Il va agir…Bientôt…Cette histoire le contrarie, car il n’a même pas le temps de jouer avec cette succulente jeune fille qui est venu l’entreprendre chez lui pour qu’il vote en faveur du sénateur Mac Kingsley.
La coquine va jusqu’à prétendre que le sénateur est son Papa, et qu’il lui donnera une bonne rançon s’il la fait sortir du vivarium.
Mais qui peut faire confiance aux jeunes, de nos jours ?
Oui, monsieur Petipas est très ennuyé."
Albert Petipas, dit "BigDaddy'
« Monsieur Petipas est un petit homme bien mis, toujours élégamment vêtu de gris, aux cheveux poivre et sel.
Charmant avec les dames, bien noté de sa hiérarchie, Albert Petipas affronte avec un calme surprenant l’adversité sans nom qui est le quotidien de la police.
Peut être est-ce un collègue de vos Pjs ? Ou un des rares flic sympathique qu'ils connaissent ?
Cependant, Monsieur Petipas a un secret.
Comme cela arrive dans les meilleurs romans, Albert avait un frère jumeau qu’il fagocita dans le ventre de sa maman.
Lorsque son médecin lui annonça la nouvelle, Madame Petipas le vécu assez mal. Elle entreprit de redresser la situation en torturant Albert durant toute son enfance afin de ‘Tuer le mal en lui’. Vexation, humiliation, longues nuits passée dans la cave, obligation de manger ses excréments…Albert sortait de ces épreuves sans cesse meilleur, c’est à dire plus calme, repentant et psychotique.
Partagé entre son désir de bien faire et sa haine incontrôlée de l’humanité, M Petipas rencontra sa vocation à la fin de sa scolarité, quand la fille la plus populaire du lycée l’invita au bal de fin d’année.
Hélas, elle commit l’erreur de faire une remarque désobligeante sur sa Maman chérie. Ne voulant pas gâcher une soirée aussi parfaite, Albert l’étrangla, la viola, puis fit disparaître son corps en le dévorant.
Albert participa avec zèle aux recherches, et sa peine lui assura la considération de tous ses camarades, ainsi que de la presse locale.
Albert Petipas venait de comprendre sa vocation : être un héros, vivre dans l’admiration générale, accéder au bonheur par la notoriété.
Il entra dans la police. Et y fit carrière.
Le jour, il combat le crime avec une obstination qui force l’admiration.
La nuit, il torture des femmes (pardon, des ‘putes’) dans la cave contiguë à son garage. Ensuite, il va prendre une bonne bière.
Et le week-end, il va s’occuper de sa vieille Maman infirme. Monsieur Petipas a une vie bien remplie.
Hélas, M. Petipas a un vice : il est un peu dépensier.
Certes, le corset tranchant destiné à son gorille violeur du gabon, ou son incinérateur dernier cri sont indispensables à son bien être, mais essayer de vous payer tout cela avec un misérable salaire de policier !
Alors, M. Petipas a été forcé de prendre ses dispositions pour améliorer son niveau de vie. Il emprunta un peu d’argent à un petit maffieux( M Giovani), et lui fournit régulièrement la dope sur laquelle il réussissait à mettre la main.
Mais ces gens-là ne sont pas fiables… Pris la main dans le sac, le dit Maffieux proposa un marché : le nom d’un ripou contre une réduction de peine.
Planqué par la police des polices dans un hôtel minable, Giovani se croit à l’abri.
Mais M Petipas est très aimé, alors que cette ordure de maffieux ne cherche qu’à sauver sa peau.
Sans trop de difficulté, M Petipas apprend l’adresse…Il va agir…Bientôt…Cette histoire le contrarie, car il n’a même pas le temps de jouer avec cette succulente jeune fille qui est venu l’entreprendre chez lui pour qu’il vote en faveur du sénateur Mac Kingsley.
La coquine va jusqu’à prétendre que le sénateur est son Papa, et qu’il lui donnera une bonne rançon s’il la fait sortir du vivarium.
Mais qui peut faire confiance aux jeunes, de nos jours ?
Oui, monsieur Petipas est très ennuyé."