Bien vu Boojum, pour les conséquences possibles des "Dh".
En effet, cela peut être tentant d'en garder pour le combat final. Cependant, des combats final, il n'y en a pas beaucoup par séance ! Cela est même plutôt exceptionnel... en fin de scénar ou de campagne, par exemple.
A l'opposé, si cela peut permettre aux PJ de se tirer d'un mauvais pas dans le cours de la séance, nul doute qu'ils n'hésiteront pas : par exemple pour ne pas se prendre une blessure grave, ou pour réussir une action critique qui pourra être déterminante dans la suite de l'intrigue.
Aux joueurs de voir s'il veulent spéculer sur leurs propres ressources ou forcer le destin ! Ce sont eux qui décident, ils demeurent
maîtres de leur destin, là où dans les règles actuelles ils subissent le destin du
maître ( humour, humour ).
Pour ce que tu dis à propos des
Dk de circonstances, je suis d'accord et je vais tout simplement adopter la règle suivante :
- Si le MJ connaît les conditions d'une action, par exemple s'il est marqué dans le scénar que le toit est glissant, je prendrai une difficulté fixe et définie. Ou en d'autres termes, le Dk à 1. Pour chaque difficulté rencontrée, la difficulté augmentera d'un point. Par exemple, de nuit et par brouillard, le contexte est clairement défini : +1 en difficulté pour la nuit et +1 pour le brouillard.
Quand je tire de nuit et par brouillard, je ne lance pas des dés pour savoir si cela va me gêner ! Cela
va me gêner.
- Si en revanche le MJ doit répondre à une question non prévue de la part des joueurs, je prendrai le système des Dk.
Exemple : la lune est pleine ou pas ? -> Dk. Du vent ou pas ? -> Dk.
Tu prends du café ? Oui mais un -> Dk sinon je dors pas.
Ce consensus me paraît pas mal.
Alexis