l'héritage Victor Hugo c'ets pas vraiment un indice vu le nombre d'oeuvre qu'il à écrites
Dans "les comtenplation" il temoigne de son incompréhension de la mort
dans "les chatiments" oeuvre fortment teinteé de religion (crimes, chatiments, expiation)
"la légende des siecles" oeuvre sur le temp qui passe, l'hisoire et l'évolution de l'humanité
il ya bien sur une station de métro nommé Victor Hugo
L'origine des Catacombes de Paris (qu'il vaudrait mieux appeler «Ossuaire municipal») remonte à la fin du XVIIIe siècle. Le cimetière des Innocents (près de Saint-Eustache, dans le quartier des Halles) avait été en usage pendant près de dix siècles et était devenu un foyer d'infection pour tous les habitants du quartier. Après de multiples plaintes, le Conseil d'État, par arrêt du 9 novembre 1785, prononça la suppression et l'évacuation du cimetière des Innocents.
Ce sont d'anciennes carrières qui furent choisies pour déposer les ossements ; la Ville de Paris venait en effet de se doter d'une inspection générale des Carrières dont le rôle était la consolidation des voies publiques minées par les carrières. Les carrières « de la Tombe-Issoire » furent l'objet de travaux comprenant une grande part de maçonnerie et de soutènement de galeries, complétés par le creusement d'un escalier flanqué d'un puit pour déverser les ossements.
Le transfert des restes pu commencer après la bénédiction et la consécration du lieu le 7 avril 1786 et se continua jusqu'en 1788, toujours à la tombée de la nuit et selon un cérémonial constitué d'une procession de prêtres en surplis qui chantaient l'office des morts le long du trajet emprunté par les tombereaux chargés d'ossements et recouverts d'un voile noir. Par la suite, ce site allait, jusqu'en 1814, recueillir les ossements de tous les cimetières de Paris.
Véritable labyrinthe au cœur du Paris souterrain, les Catacombes rassemblent les restes d'environ six millions de Parisiens, transférés entre la fin du XVllle siècle et le milieu du XIXe siècle, au fur et à mesure de la fermeture des cimetières pour raison d'insalubrité .
Le long d'un enchevêtrement de galeries obscures et de couloirs étroits, on découvre une mise en scène de la mort avec les ossements disposés en un décor romantico-macabre. Piliers de soutènement, cloche de fontis ou encore bain de pieds des carriers évoquent l'origine des lieux, les carrières de calcaire, tout en aiguisant la curiosité.
bref malgré tous sa le mystère reste entier et me fait trepigner d'impatience