Je trouve que chercher des inspirations sur Bloodlust peut sembler facile : il y a la megacité Pole, la sombre jungle gadhar, le desert de l'ouest et la zone aride/desertique au sud de la zone vorozion, les villes medievales de l'est, les grandes plaines du centre, les zones glacées du nord... mais il me semble qu'il faut chercher les détails pour avoir la saveur du continent Tanaephis.
Pour Pôle, un film sur une grande ville médiévale serait incomplet si cette dernière n'est pas avec une guerre qui se résoud au pied de sa muraille, voir dans ses quartiers.
Pour les Batranobans ils faut les conflits entre les grandes familles, une source de prestige/pouvoir comme l'Epice, et des tempetes de sable qui parfois sont annormalement dévastatrice comme les mères de toutes les tempêtes.
Les vorozions sont ceux qui se rapproche le plus du côté médiévale, mais il ne faut pas oublier le coté pesant de l'administration omniprésente.
Pour la jungle, là c'est plus classique: des tributs très différentes les unes des autres, des sages qui connaissent des savoirs oubliés de tous, de la 'magie? ', des ruines oubliées.
Pour le nord il ne faut pas oublier les chagars pour les piorads , ni la manière rusé des Thunks pour se defendre des brutes Piorads.
Je ne pense pas qu'il suffit de citer un film avec un gros barbare pour se dire tient c'est Bloodlust... du moins pas dans ma façon de voir ce jeu. Il faut que ce barbare soit impliqué bien malgré lui dans un complot millénaire, qui monte un cheval carnivore et que sa peau soit couvert de tatouages exposants les massacre qu'il a accomplit.
Prince of percia m'a vraiment fait penser à Bloodlust: en plus du complot familiale, c'est une dague ( avec le sable qu'elle contient) qui permet de remonter le temps... ça fait penser à une arme dieu mineure.
Pour les autres films cité, je suis plus sceptique ( même pour le treizième guerrier que j'ai vraiment beaucoup aimé au point de m'en inspirer pour la creation d'un personnage Batranoban), on peut s'en i spirer pour les personnages, mais ni pour les lieux, ni pour les situations à mon avis.
Après je peux me tromper.