Éditions John Doe

Le jeu de rôle est mort,
mais personne n'est venu réclamer le corps

Courrier des Légistes n°10

Derriere la porte du frigo

8 mars 2015

Édito

Ame­ri­ca­na, le jeu-cam­pagne d’Y­no, fait un très bon départ en bou­tiques et plu­sieurs d’entre elles ont dû réas­sor­tir après que les exem­plaires com­man­dés aient été tous ven­dus ! Nous vous remer­cions cha­leu­reu­se­ment de cette marque de confiance. A vrai dire, nous avions un peu peur que durant notre longue absence des rayon­nages, vous nous aillez oublié. Nous sommes rassurés !

Toux ceux qui ont eu entre les mains Ame­ri­ca­na le savent : c’est la petite sur­prise que nous vous réser­vions et qui n’a­vait volon­tai­re­ment pas été annon­cée avant. Le Rêve Amé­ri­cain va venir très pro­chai­ne­ment s’ad­joindre à Ame­ri­ca­na. Bien sûr c’est un écran. Mais c’est loin d’être seule­ment un écran. C’est aus­si un très long scé­na­rio, jouable avec OU sans le livre de base, où l’on inter­prète des per­son­nages dif­fé­rents de ceux du burst. Le Rêve Amé­ri­cain est bou­clé et part en prod cette semaine ! On vous en parle plus pré­ci­sé­ment ci des­sous. Ega­le­ment dans ce cour­rier, des pré­ci­sions sur la page d’A­van­ce­ment main­te­nant dis­po­nible sur notre site…

Americana : Le Rêve Américain
(écran + scénario)

Si Ame­ri­ca­na : le rêve amé­ri­cain est un écran… ce n’est pas « juste un écran ».

C’est un écran accom­pa­gné d’une vraie pro­po­si­tion de jeu en soit : un livret de 48 pages com­po­sé d’un court ensemble de règles pour créer un Fau­cheux, d’une feuille de per­son­nage spé­ci­fique et d’un énorme scé­na­rio (entre 12 et 20 heures de jeu) réser­vé à des joueurs (très) matures et à un meneur expérimenté.

Spin-off

Le rêve amé­ri­cain né contient pas de scé­na­rio sup­plé­men­taire pour le syn­drome de Baby­lone. Par contre, le scé­na­rio se déroule dans le même uni­vers et pro­pose une his­to­rie « déri­vée », avec des per­son­nages croi­sés durant le Burst. Car dans Ame­ri­ca­na : le rêve amé­ri­cain, les joueurs incarnent des Fau­cheux, les hommes de main d’une étrange orga­ni­sa­tion mafieuse, fils de la Veuve Noire, croque-mitaines et bras armés.

Ins­pi­ré par les films Casi­no, The Cha­ser, Heart­less et Lord of Illu­sions, le jeu vidéo Hot­line Mia­mi, les clips et la musique du groupe Tool, Ame­ri­ca­na : le rêve amé­ri­cain est une plon­gée dans un Las Vegas inter­lope, étrange et halluciné.

Stand-alone

« Ame­ri­ca­na : le rêve amé­ri­cain » peut être ache­té, lu et joué sans avoir ache­té, lu et joué « Ame­ri­ca­na : le syn­drome de Baby­lone » : il contient tout pour jouer et peut être uti­li­sé avec ou indépendamment !

AME_ECRAN_pers+plat

On en est où ?

Notre site a légè­re­ment évo­lué. Doré­na­vant, vous pour­rez visua­li­ser la pro­gres­sion des pro­jets dans la page dédiée : Avan­ce­ment. Les pro­jets y sont lis­tés selon plu­sieurs niveaux d’avancement :

  • « Vient de paraître » concerne les pro­jets dis­po­nibles en bou­tiques. C’est le cas d’Americana
  • « En cours de pro­duc­tion » signi­fie que le jeu est par­ti chez l’imprimeur.
  • « En cours de réa­li­sa­tion » indique que le texte est figé et vali­dé, et que le jeu se fait une beau­té au niveau des illus­tra­tions et de la maquette
  • Enfin, « en cours de rédac­tion » indique tous les pro­jets qui sont en déve­lop­pe­ment mais pas encore bouclés.

Quelques pré­ci­sions s’im­posent : seuls les pro­jets lis­tés sur cette page sont « offi­ciel­le­ment » vali­dés par les édi­tions John Doe. Il peut cou­rir des rumeurs sur d’autres pro­jets mais ceux lis­tés ici sont sûrs, vous pou­vez comp­ter des­sus. Par ailleurs, nous nous effor­çons de mettre des dates quand c’est pos­sible mais celles-ci né sont pas gra­vées dans le marbre. Un jeu sort quand il est fini, c’est à dire qu’il cor­res­pond à ce que nous vou­lions. Dans les caté­go­ries « en cours de réa­li­sa­tion » ou « en cours de rédac­tion », pas de hié­rar­chie entre les projets.

Enfin, vous le voyez, aucun pro­jet n’a été aban­don­né, même les plus en retards. C’est notre enga­ge­ment, notre façon de res­pec­ter nos lec­teurs même s’ils ont eu le sen­ti­ment d’être par­fois oubliés.

Emma­nuel