Question de coût en partie. Question de goût aussi. On voulait simplement un format facile à emporter, à lire aux chiottes, au lit et dans le métro, pas trop rempli (à la base) pour pouvoir l'avaler vite et jouer plus vite encore. C'était une réflexion qui liait le fond et la forme.
C'est toujours le cas, même si nos livres sont un peu plus épais maintenant. On s'adresse à un certain public qui ne veut plus de gros pavés de 350 pages, mais à des gens qui veulent des jeux simples à prendre en main et riches pourtant. Bloodlust est une exception sur la pagination (416 pages, c'est du lourd), mais il reste malgré tout dans nos clous, à savoir un jeu qu'on peut lire vite et jouer assez rapidement - de par sa structure et son écriture qui devrait favoriser une prise en main rapide.
LG