je penche pour la deux.
Par habitude, quand je maîtrise, je considère deux choses : la difficulté inhérente à une action (crocheter une serrure, grimper une falaise, se foutre sur la gueule, etc.) et les conditions locales. La difficulté est toujours la même quelles que soient les circonstances. Une serrure n'est pas plus complexe à crocheter en plein jour que de nuit. Par contre, la lumière ou le temps disponible peut influer sur la manière d'accomplir l'action.
Ainsi, Crocheter une serrure, c'est un jet de larron (2). Ou un jet de larron (2) avec une faille "Les gardes arrivent, dépêche-toi" à 2. Ou un jet de larron (2) avec une faille "Pas les bons outils" à 2. Etc.
Même chose pour grimper une falaise de jour ou sous la pluie. La difficulté n'augmente pas, mais le jet est quand même plus délicat.
Du coup, le vrai pro, il a ce qu'il faut pour couvrir les failles. Le voleur pro avec Sang-froid 3 peut compenser une faille "Tain, ils sont déjà dans l'escalier, grouille connard" à 2 (merci le copain qui panique à côté).
LG
"Ses blessures mortelles lui ont soudainement été fatales !" - Tony Tony Chopper
"Tu sais ce que j'ai fait après avoir écrit mon premier bouquin ? J'ai fermé ma gueule et j'en ai écrit 23 de plus." - Michael Connely, Castle S03E21