Je me faisais la même réflexion que boojum même s'il est vrai que la balle était dans mon camp.
Pour mes histoires de compteur, je pense qu'il faut vraiment garder un compteur conviction indépendant des autres compteurs pour laisser toute la saveur des factions et sectes planaires de PlanesKape s'exprimer.
Comme je suis têtu, je garderai mes compteurs élémentaires que vous ne garderez pas j'ai bien compris.
Je trouve que la règle disant que l'on prend le plus petit compteur des deux entre conviction et le compteur alignement est moult simple et ne vient rien compliquer. Elle a sa logique en terme d'univers de jeu et, si je puis me permettre cet argument, boojum, elle n'est pas tellement plus compliquée que certaines règles, au demeurant très intéressantes, que tu proposes .
Un autre hic qui me chagrine, ce sont les religieux qu'on ne peut décemment pas empêcher de prendre le compteur conviction. Or, dans ce cas de figure leur force de conviction, leur foi, serait indépendante de leur facilité à utiliser la magie divine. A moins de limiter leurs sorts de brutasse et de professionnel avec ce moyen (où il faudrait avoir 3 et 2 respectivement en conviction comme condition) ?
Quant au problème de l'alignement, je reste chiffonné et ne sais quel terme choisir dans l'alternative suivante :
Je n'ai pas de compteur neutralité, ce qui me permet d'expliquer que les pétitionnaires d'outreterre compensent leurs actions (im)morales par des actions opposées : je peux donc gagner sur les deux tableaux tout en restant neutre. Le hic est que cela contrevient à l'idée - faussement de bon sens ? - que pour passer du bien au mal, on doit devenir neutre, bref perdre de son compteur mal pour pouvoir commencer à gagner en bien (pareil avec loi et chaos).
L'autre terme revient à dire qu'il existe deux autres compteurs, de neutralité, un pour l'axe bien/mal, l'autre pour l'axe loi/chaos. Ca me permet d'éviter le vraie fausse absurdité ci-dessus mais ça n'explique pas mes pétitionnaires d'outreterre ni la possibilité, intéressante à mon goût, d'être par exemple bon 2 et mal 1, donc d'être capable de faire le bien et de le promouvoir tout en étant quelque fois obligé d'être rappelé par ses origines quand on est un tieffelin.
Bref, je ne sais pas même s'il est évident que je préfère la première solution plus dans l'optique, à mon avis, d&desque que la seconde.
Bref, je "philosophe" trop ce soir : je retourne travailler.
Aesdana, fan de boba, de John Doe, de Plagues, du FuturdK et du S.A.V.