Bonjour,
une petite question maintenant que j'ai le bouquin entre les mains. Page 309, on nous dit que perdre son arme est un coup dur qui fait encaisser de nombreux points de tension.
Mais n'y a-t-il pas des cas où c'est libérateur, au contraire ? Où un Porteur non volontaire, dominé la plupart du temps par son arme, arrive enfin à échapper à son contrôle pour arrêter à massacrer ses proches de sa propre main, par exemple ? Idem pour un type qui ramasse l'Arme et s'en débarrasse quelques minutes plus tard ("Ah non ces saloperies c'est pas pour moi") ? (Ou alors tout le monde sans exception est content à sa manière d'avoir une Arme entre les mains ? )
Auquel cas, faut-il quand même faire encaisser une perte de tension (ce qui prime c'est surtout la disparition d'un contact mental édifiant, structurant) ou l'oublier voir l'inverser ? En fait la règle n'est pas très importante, je demande surtout ça pour mieux comprendre le lien Porteur / Arme et les conséquences de sa disparition.
Merci !